Il s’abandonna à la souffrance en fermant les yeux, incapable de résister à ce flot qui le submergeait, l’entraînant loin des rivages familiers. Il n’avait plus la force de bouger. Un carcan l’emprisonnait de la tête aux pieds. Claude Bourgeyx
Dommage pour la symétrie parfaite.
Mais qu'arrive-t-il à ce pauvre garçon ?