Longtemps j'ai cru qu'il y avait deux solutions, mais que nenni. Que les gens de la ville sont tristes, dans le métro (ou autre) aucun rapport entres eux. Chez nous c'est les frontaliers, ils n'habitent les villages que pour y dormir.
C'est dans le métro 16, tous les matins les mêmes personnes se retrouve sur le chemin de la ville, et tous les matins ils se racontent des histoires. Un jour l'un d'entre eux: < Si on numérotait nos histoires, et comme cela on en racontrait. Ainsi dit ainsi fait. Le lendemain: < 25. > Ils rient tous < 52.> Ils s'esclaffent tous. <125 > Rien <125 > Rien. L'homme s'énervant un peu < 125. > Gros bide. < Pourtant elle est bien la 125! > - Peut être mais tu ne sais pas la raconter. >.
< Si on numérotait nos histoires, et comme cela on en racontrait. Ainsi dit ainsi fait.
Le lendemain:
< 25. >
Ils rient tous
< 52.>
Ils s'esclaffent tous.
<125 >
Rien
<125 >
Rien.
L'homme s'énervant un peu
< 125. >
Gros bide.
< Pourtant elle est bien la 125! >
- Peut être mais tu ne sais pas la raconter. >.