Bravo et merci. Le lion de Franche-Comté, que Peugeot modernisé (même le blason) il y a une trentaine d'années. Normalement il a les griffes et la langue rouge, il a un sexe, s'il n'en a pas cela sera un lâche dans la bataille.
Nos représentant sur les plaques numérologiques n'en voulaient pas, mais avec les régions qui ont changé il y est maintenant sur le blason de la région, mais il manque la croix de Bourgogne, qui nous appartient depuis la mort de Charles le Téméraire.
Une version du nom Franche Comté : Voulant montrer son rapprochement avec la France, Othon IV quitte l’aigle ancestral de ses aïeux, signifiant leurs préférences pour le Saint-Empire romain germanique et le remplace par le lion.
Les billettes qui ont été ajoutées par la suite, doivent représenter les arbres de nos forêts, pour différencier notre lion à celui des Hohenstaufen.
Ce que je ne comprends pas c'est qu'il est tourné vers la gauche, donc vers le passé.
Cela à bogué :
« Au XIIe siècle, le Saint-Empire est garant de la prospérité du comté de Bourgogne. Mais en 1127, après l'assassinat du comte Guillaume III de Bourgogne, son cousin le comte Renaud III de Bourgogne veut s'émanciper de la tutelle impériale de l'empereur Conrad III de Hohenstaufen. Il lui impose par la guerre de statut le "franc comte" (comte libre) : origine possible du nom de Franche-Comté repris pour la région. »
(Wikipédia Comté de Bourgogne)
Autre version :
Au milieu du Ve siècle, les Burgondes, venus de Germanie, s'installent dans l'Est de la Gaule, où ils fondent le royaume de Burgondie. Vers l'an mille, le territoire est partagé en deux. La partie occidentale, le duché de Bourgogne, tombe dans l'escarcelle des rois capétiens. Mais la partie orientale, érigée en comté, reste en dehors du royaume de France. C'est un territoire très disputé. Au gré des guerres, des mariages et des alliances, il devient tout à tour français ou germanique . On dit que c'est un "fief mouvant". Cette situation originale confère au comté une grande autonomie. Voilà pourquoi, à partir du XIVe siècle, on appelle cette terre la "franche comté «de Bourgogne, franche signifiant libre.
(Trouvé sur la revue ça m'intéresse histoire, numéro 15 581)
Nos représentant sur les plaques numérologiques n'en voulaient pas, mais avec les régions qui ont changé il y est maintenant sur le blason de la région, mais il manque la croix de Bourgogne, qui nous appartient depuis la mort de Charles le Téméraire.
Une version du nom Franche Comté : Voulant montrer son rapprochement avec la France, Othon IV quitte l’aigle ancestral de ses aïeux, signifiant leurs préférences pour le Saint-Empire romain germanique et le remplace par le lion.
Les billettes qui ont été ajoutées par la suite, doivent représenter les arbres de nos forêts, pour différencier notre lion à celui des Hohenstaufen.
Ce que je ne comprends pas c'est qu'il est tourné vers la gauche, donc vers le passé.
« Au XIIe siècle, le Saint-Empire est garant de la prospérité du comté de Bourgogne. Mais en 1127, après l'assassinat du comte Guillaume III de Bourgogne, son cousin le comte Renaud III de Bourgogne veut s'émanciper de la tutelle impériale de l'empereur Conrad III de Hohenstaufen. Il lui impose par la guerre de statut le "franc comte" (comte libre) : origine possible du nom de Franche-Comté repris pour la région. »
(Wikipédia Comté de Bourgogne)
Autre version :
Au milieu du Ve siècle, les Burgondes, venus de Germanie, s'installent dans l'Est de la Gaule, où ils fondent le royaume de Burgondie. Vers l'an mille, le territoire est partagé en deux. La partie occidentale, le duché de Bourgogne, tombe dans l'escarcelle des rois capétiens. Mais la partie orientale, érigée en comté, reste en dehors du royaume de France. C'est un territoire très disputé. Au gré des guerres, des mariages et des alliances, il devient tout à tour français ou germanique . On dit que c'est un "fief mouvant". Cette situation originale confère au comté une grande autonomie. Voilà pourquoi, à partir du XIVe siècle, on appelle cette terre la "franche comté «de Bourgogne, franche signifiant libre.
(Trouvé sur la revue ça m'intéresse histoire, numéro 15 581)