On jette par terre des assiettes mais aussi des verres, des bouteilles et différents objets en ayant plus ou moins bu afin d'oublier ses problèmes.
Cette coutume commence dans les années 30 quand des réfugiés grecs d'Asie Mineure arrivent en Grèce Continentale avec un genre musical nouveau le Rébétiko qui raconte leur vie frauduleuse et qui refusent de s'intégrer au système et à la vie en société. Complètement bourrés ces réfugiés ils cassaient tout ce qui leur tombait sous la main.
Ça a pris fin dans les années 40 avant que Onassis armateur célèbre remette ça au goût du jour dans les années 60 lors de soirées passées dans des Bouzoukias (sorte de Cabaret en Grèce).
Merci Ben-Hur. Cependant, cette coutume est plus ancienne et s’est répandue il y a longtemps dans toute la péninsule des Balkans. Il existe aussi un dicton qui dit : « Brisons la malchance ! »
Cette coutume commence dans les années 30 quand des réfugiés grecs d'Asie Mineure arrivent en Grèce Continentale avec un genre musical nouveau le Rébétiko qui raconte leur vie frauduleuse et qui refusent de s'intégrer au système et à la vie en société. Complètement bourrés ces réfugiés ils cassaient tout ce qui leur tombait sous la main.
Ça a pris fin dans les années 40 avant que Onassis armateur célèbre remette ça au goût du jour dans les années 60 lors de soirées passées dans des Bouzoukias (sorte de Cabaret en Grèce).