C’est une justice à nous rendre : à partir de ce jour-là, jamais nous ne laissâmes le vieux meunier manquer d’ouvrage. Puis un matin, maître Cornille mourut, et les ailes de notre dernier moulin cessèrent de virer, pour
toujours cette fois… Cornille mort, personne ne prit sa suite. Que voulez-vous, monsieur ?… Tout a une fin en ce monde, et il faut croire que le temps des moulins à vent était passé comme celui des coches sur le Rhône, des parlements et des jaquettes à grandes fleurs.
Alphonse Daudet
Qu'il repose en paix.
Merci