puis les chiens tout suants, avec des langues jusqu’à terre, et deux grands coquins de bergers drapés dans des manteaux de cadis roux qui leur tombent sur les talons comme des chapes.
Tout cela défile devant nous joyeusement et s’engouffre sous le portail, en piétinant avec un bruit d’averse…
Alphonse Daudet