Maintenant, Coco vole au-dessus des toits et le vieil homme crie le nom de sa mascotte les bras levés vers le ciel. Il n’est déjà plus qu’un tout petit point ! Nous nous accrochons aux plumes du toucan. Coco file sous le couvercle des nuages, pile au-dessus de la ville. Je lis encore la peur dans ses yeux vifs. Mais il ne crie plus, on dirait qu’il vient de se réveiller. Le plus lucide des toucans vole droit vers la forêt, d’instinct !
Fred Bernard
Bravissimo Fabdan !!!