Superbissime hommage à ce grand homme ! Auguste Blanqui, surnommé « l'Enfermé », né le 8 février 1805 à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) et mort le 1er janvier 1881 à Paris, est un révolutionnaire socialiste français. Il défend pour l'essentiel les mêmes idées que le mouvement socialiste du 19ème siècle. Voici la conclusion de son fameux "Toast de Londres" : "Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la bourgeoisie. Hors de là, point de salut. Les doctrines diverses qui se disputent aujourd'hui les sympathies des masses, pourront un jour réaliser leurs promesses d'amélioration et de bien-être, mais à la condition de ne pas abandonner la proie pour l'ombre. Les armes et l'organisation, voilà l'élément décisif de progrès, le moyen sérieux d'en finir avec la misère. Qui a du fer, a du pain. On se prosterne devant les baïonnettes, on balaye les cohues désarmées. La France hérissée de travailleurs en armes, c'est l'avènement du socialisme. En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra. Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d'arbres de la liberté, par des phrases sonores d'avocat, il y aura de l'eau bénite d'abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours. Que le peuple choisisse !".
Bravo. J'avais lu une biographie de lui très intéressante. Qu'il est loin le temps du rêve socialiste, lorsque l'on voit maintenant que l'on tire dans les pattes du peuple et que l'on détruit tout ce que ses hommes ont fait durant toutes ces siècles et qu'on le démantèle en quelques mois, avec une loi (j'inclus tous les parties). Tout ces grands hommes, doivent avoir percé leurs cercueils, à force de se retourner dedans. je suis heureux d'être en retraite, car je ne vais pas vivre tout cela, en tant que travailleur.
Auguste Blanqui, surnommé « l'Enfermé », né le 8 février 1805 à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) et mort le 1er janvier 1881 à Paris, est un révolutionnaire socialiste français. Il défend pour l'essentiel les mêmes idées que le mouvement socialiste du 19ème siècle. Voici la conclusion de son fameux "Toast de Londres" :
"Il ne doit pas rester un fusil aux mains de la bourgeoisie. Hors de là, point de salut.
Les doctrines diverses qui se disputent aujourd'hui les sympathies des masses, pourront un jour réaliser leurs promesses d'amélioration et de bien-être, mais à la condition de ne pas abandonner la proie pour l'ombre.
Les armes et l'organisation, voilà l'élément décisif de progrès, le moyen sérieux d'en finir avec la misère.
Qui a du fer, a du pain.
On se prosterne devant les baïonnettes, on balaye les cohues désarmées. La France hérissée de travailleurs en armes, c'est l'avènement du socialisme.
En présence des prolétaires armés, obstacles, résistances, impossibilités, tout disparaîtra.
Mais, pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par des plantations d'arbres de la liberté, par des phrases sonores d'avocat, il y aura de l'eau bénite d'abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours.
Que le peuple choisisse !".