A gauche tout l'étang s'installe, vert,
A l'autre bout s'étend un arbre clair,
L'herbe se plie sous le doux poids du vent,
Vers ce jeune if où se jouent lois du temps.
Les pâquerettes Sublimes se pâment,
Des Sales bêtes butinent leurs âmes
Les marmottes jouent auprès d'églantiers
Et barbotent sous l'eau des verts sentiers.
Des cormorans teintés en bleus de nuit
S'enfuient, oppressés de jets éclatants,
Décor donnant un exemple de vie
Tranquille aux très gais reflets épatants.
Au fond, sous les bleus et beaux ciels gênés,
Le vrai visage de la vie rougit ;
O long couché de ces soleils d'été,
Ce paysage me ravit. J'oublie...
je trouvais marrant qu'il ne restait plus qu'un chiffre en surbrillance.
merci pour ce tableau.
Le poème est de toi, Sef ?
n'est pas une hérésie.
Ce hanjie est subtil,
et le poème habile.