" Je ris de me voir si belle en ce miroir ... " L?irrésistible rossignol milanais, pas facile à découvrir, mais tellement ressemblante ! Bravo Tanaly, et merci !!
Saviez-vous que la Castafiore s'appelait Fiorentino Casta ? Que le « Rossignol milanais » cher à Hergé était le dernier castrat napolitain. « L'air des bijoux » du « Faust » de Gounod, une allusion coquine aux « bijoux de famille » envolés ? D'où le sel assez cocasse du : « Je ris de me voir si belle en ce miroir. » Tintinologue averti, Albert Algoud a voulu savoir qui se cachait derrière la diva casse-bonbons. Si ses apparitions dans les albums sont plutôt rébarbatives, la vie de la Castafiore fut par contre-(ut) haute en couleur. Né (e) en 1892, Fiorentino Casta éclaboussa de sa voix l'Europe ébahie avant de briser le coeur du roi Fayçal, qui lui construisit l'Opéra de Bagdad. Résistante au côté de Joséphine Baker, elle devint sur le tard l'égérie d'Andy Warhol et de Klaus Nomi. Mais Hergé dans l'affaire ? Le destin bascula le jour où il assista à un de ses concerts bruxellois. Invité dans sa loge, le scout de 13 ans eut la révélation de son anatomie, dont il s'inspira pour « Le secret de la Licorne ». Il la recroisa en 1939 et elle devint une bonne copine.
Tout ce que vous venez de lire est faux ! Bien qu'assez vraisemblable. « C'est en la regardant dans "Le sceptre d'Ottokar" que je me suis exclamé : mais c'est un trans ! se souvient Algoud. Puis je me suis repris. Non, un castrat. ».
Pfiou... je l'ai commencé, arrêté, recommencé... Finalement la 4è fois à été la bonne !! C'est le premier que je ne réussis pas du premier coup, donc un grand merci ;) Et oui, très ressemblant !!
Ouf! Merci très réussi cette création. Heureusement j'avais mis l'air des bijoux de Gounod, chanté par la Castafiore en sourdine, sinon je pense que je n'aurais pas pû le finir.
Au fait bravo à Mic999, et ses "alcooliques"(?) pour leurs temps, moi lorsque je fais de tels records, c'est que j'ai mis un cierge à l'église et pour les superbes notes qu'ils ont donné.
bien réussie.
L?irrésistible rossignol milanais, pas facile à découvrir, mais tellement ressemblante !
Bravo Tanaly, et merci !!
Saviez-vous que la Castafiore s'appelait Fiorentino Casta ? Que le « Rossignol milanais » cher à Hergé était le dernier castrat napolitain. « L'air des bijoux » du « Faust » de Gounod, une allusion coquine aux « bijoux de famille » envolés ? D'où le sel assez cocasse du : « Je ris de me voir si belle en ce miroir. » Tintinologue averti, Albert Algoud a voulu savoir qui se cachait derrière la diva casse-bonbons. Si ses apparitions dans les albums sont plutôt rébarbatives, la vie de la Castafiore fut par contre-(ut) haute en couleur. Né (e) en 1892, Fiorentino Casta éclaboussa de sa voix l'Europe ébahie avant de briser le coeur du roi Fayçal, qui lui construisit l'Opéra de Bagdad. Résistante au côté de Joséphine Baker, elle devint sur le tard l'égérie d'Andy Warhol et de Klaus Nomi. Mais Hergé dans l'affaire ? Le destin bascula le jour où il assista à un de ses concerts bruxellois. Invité dans sa loge, le scout de 13 ans eut la révélation de son anatomie, dont il s'inspira pour « Le secret de la Licorne ». Il la recroisa en 1939 et elle devint une bonne copine.
Tout ce que vous venez de lire est faux ! Bien qu'assez vraisemblable. « C'est en la regardant dans "Le sceptre d'Ottokar" que je me suis exclamé : mais c'est un trans ! se souvient Algoud. Puis je me suis repris. Non, un castrat. ».
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