Le chien semble sincère. Pour lui, pas de doute possible, notre poil appartient à un Indien blanc comme ceux qui le nourrissent lui donnent des coups de pied aux fesses tous les matins. Reste à trouver le bon !
Nous y voilà! L’engin est rempli de caisses et de cages, il ressemble à un oiseau. Élie est fier de m’apprendre que les Indiens de la forêt parlent souvent entre eux d’un oiseau de fer qui les effraie et les fascine à la fois. Mais où va-t-il chercher tout ça ! Il doit avoir des oreilles partout !
Fred Bernard