27 septembre 1914
Ah que c'est long et monotone et déprimant. Voilà quinze jours que nous restons sur place (...) On marche la nuit, les mouvements se font au petit jour et au crépuscule et on a toujours l'air de se cacher. Une fois arrivé au poste de combat, chacun prend ses positions, ici telle compagnie, là telle autre, là le commandement; puis on se terre dans les tranchées et on attend...
Maurice Maréchal.
D'ailleurs, on parlera sans doute de son violoncelle avant la fin de cette série... :)
J'ai dû le recommencer 6 ou 7 fois, dresser des hypothèses... reprendre le brouillon.
Bref la galère.
Mais le résultat est à la hauteur, c'est indéniable!